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Le dossier 67 m'a inspiré celui-ci.
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Comment et que bouturer quand on est un amateur sans unité de multiplication ?
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Tout ce dont on a besoin se résume à un bidon de plastique translucide. Peu importe sa contenance du moment qu'un de ses côtés ne fasse pas moins de 25 cm.
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Je découpe un côté de façon à conserver le maximum de ces 25 cm.
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Je fais ensuite quelques trous dans le fond qui serviront pour le drainage.
Toute la partie ci-dessus a été copiée, collée à partir du dossier n°67.
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Je remplis à moitié le conteneur avec un mélange léger et humidifié.
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Le substrat se tasse légèrement en le cognant sur une surface dure.
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Je prépare des boutures d'azalée japonaise en ne laissant que 5 à 6 feuilles.
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Vérification de la longueur de la bouture par rapport à l'épaisseur de substrat que vous avez. Raccourcir si nécessaire.
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Mettre le cambium à nu.
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Mettre de l'hormone sur le cambium. Poudre dans le cas présent.
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Huit boutures sont dans ce bidon.
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Bidon placé à l'intérieur d'un sac plastique opaque.
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1er juillet.
Deux bidons ont été préparés. Chacun contient 8 boutures : 8 ont reçu de l'hormone et 8 sont sans hormone => une "expérience" à l'intérieur de l'expérience.
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15 décembre.
Je sors les bidons de leur sac plastique. On voit quelques fleurs fanées.
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Je commence par les boutures qui n'ont pas reçu d'hormone => toutes sont racinées.
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Puis les boutures ayant reçu de l'hormone => toutes sont également racinées. Leur motte de racines est notablement plus grosse.
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Les boutures ayant reçu de l'hormone sont devant.
Derrière, les boutures sans hormone.
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Les boutures ayant reçu de l'hormone à gauche.
A droite les boutures sans hormone.
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COÛT : | Pratiquement 0 euro => bidons (récupération) et hormone (avec ou sans).
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Temps : | Environ 60 minutes pour 2 bidons de 8 boutures.
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Difficulté : | Aucune.
| Résultat : | On peut tabler sur presque 100% de réussite avec les azalées japonaises. Résultat plus faible, à beaucoup plus faible avec les rhododendrons lépidotes.
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Voir ce terme
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Photos et texte de Marc Colombel
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